En 1ère page d'un Registre paroissial, le curé de Chamousset, date l'ouverture "du nouveau cimetière"… en 1714.
" C'est le 13 avril 1714 que le cimetière de l'ancienne église de Chamosset a cessé, par la sépulture de François Meilland; et le nouveau a été ouvert par Michelle, fille de François Meilland et de l'Antoinette Viguet agée de sept ans, en datte du 23 août 1714.
Rd Martin Buttard curé, né à Ermillon proche St Jean de Maurienne"
1ère délibération en date du 13 nivôse, an 9 (3 janvier 1801 de notre calendrier) qui propose l’établissement d’une fontaine publique « Place de la liberté », fontaine sollicitée depuis très longtemps par le vœu des habitants.
La première mention du monument aux morts de la commune d’Arvillard remonte au 23 février 1920. Dans une délibération du Conseil Municipal, le Maire, François Durand, rappelle qu’il y a urgence à ériger un monument aux morts pour la France, que pour cela une souscription publique a été ouverte (à ce jour d’un montant de 1000 F) et qu’elle se poursuit.
Champlaurent, commune de montagne, a son église, et plusieurs chapelles, encore en état :
- L'église Saint-Blaise au bourg
Saint Blaise, évêque, ermite et martyr qui aurait vécu en Arménie au IVe siècle, était invoqué pour les maux de gorge, et autres désagréments bucaux : arête de poisson, douleurs dentaires, etc ; et pour les maladies des animaux.
Au hasard d’autres recherches, je suis « tombée » sur un sculpteur sur bois de Saint-Pierre d’Albigny.
Il y a sur notre territoire tant d’œuvres religieuses sculptées, dont nous ne savons rien…
Or, je n’ai rien trouvé dans les Archives en ligne concernant ce maître-sculpteur, qui semblait pourtant avoir pignon sur rue ; même Dufour et Rabut l’ignorent. En pourtant…
Dans les registres paroissiaux : un maître-sculpteur à St-Pierre d’Albigny
Quoiqu'elle soit devenue l'église paroissiale, en lieu et place de l'église St-Jean-Baptiste vétuste, l'église du couvent des Carmes, trop grande, a été gravement raccourcie au début du XIXe siècle.
De l'immense vaisseau ne restent plus que le transept et le chœur : destiné à une communauté religieuse, ce dernier était très développé, les stalles (plus nombreuses) adossées aux murs (et non au "fond du chœur'" où on les voit aujourd'hui en nombre restreint).